Dirty deeds done dirt cheap: les débuts d'ACDC

Plus qu'un groupe, une entité, un sujet d'adoration sans borne. ACDC est le copain de toujours, le groupe qu'il est facile de citer pour donner une touche rock à la conversation, une référence qui parle à tout le monde.

Avec son deuxième album, le divin Dirty deeds done dirt cheap parvenu jusqu'à nous en 1976, le groupe s'attachait un peu plus de fans.

Une pochette énigmatique d'entrée de jeu qui signe un mystère à percer absolument. Ces visages anonymes dont le regard est absent ont presque l'air de nous demander des comptes. Le son est déjà précieux, beaucoup plus évolué que la plupart des formations de l'époque. La rythmique est en place et le chant s'abime déjà dans des strates rapeuses.

Quelques titres vont survivre au temps et resteront des classiques qu'ACDC continuera de jouer sur scène : Problem Child (repris par leurs copains français de Trust), Ride On ...

Comme tous les albums d'ACDC la surprise n'est pas au bout du sillon car la première note jouée on sait déjà à quoi s'attendre : du rock tirant parfois vers le heavy avec une dose de blues suffisante pour épaissir le propos.

On n'a jamais fait mieux et même si depuis tout ce temps la relève semble assurer par la nouvelle génération (Airbourne, Buckcherry...) ACDC reste les précurseurs de la simplicité comme on l'aime.

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